"D'une vie à l'autre" petite fiction sur Louis14

Ah la suite .... Promis j'en mettrai un bout demain, et pis aussi demain soir, pour fêter les vacances !! mdrrr

Youpi, on va avoir la suiteeeeeeeeeeeeeeeee!
Ca y'est je susi accro!
Bravo miss, bravo!

WaaaaaaOUUUUUUuuu elle est géniale ton histoire !!! ZE VE LA SUIIIIIIIIIIITE !!!!!
Franchement bravo tu es super douée !!!

J'attends la suite avec impatience !!! A+.

* Inès *

C'est trop dur d'attendre!!!!!!
Ton récit est très captivant!!!
Que va t il arriver à notre pauvre Louis???
Vivement demain......

Quelle imagination!!!!!!!!!! ça fait plaisir !!!!!!!!!!!!!

Et voilà comme promis, un pitit bou de suite !!!
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Seul le tic tac de la grosse horloge du salon et le crépitement du feu de cheminée résonnaient dans la pièce, créant une atmosphère pesante.
Assise dans un fauteuil, Anna observait Louis, qu’elle avait réussi tant bien que mal à glisser sur le canapé. Cela faisait déjà plusieurs heures qu’il dormait et dehors, le jour avait cédé sa place à la nuit.
Anna porta la tasse qu’elle tenait fermement à ses lèvres et but une gorgée de chocolat chaud. Elle ne quittait pas du regard le jeune homme endormi devant elle. Qu’est-ce qui l’avait poussée à l’emmener chez elle ? Qu’est-ce qui l’avait poussée à le garder ici ? Ca, elle n’en savait rien. Oh bien sûr, elle pouvait prétendre qu’elle s’était donnée autant de mal pour sa sécurité à lui, mais au fond, elle savait pertinemment qu’elle se mentait. Quelque chose en lui l’intriguait…
Elle n’eut pas le loisir de pousser plus loin sa réflexion car déjà Louis commençait à se réveiller.
Elle posa doucement sa tasse sur la petite table basse et se leva. Louis poussa un léger grognement, ouvrit les yeux, puis se massa la nuque, sans doute encore endolorie à cause de la violence de la piqûre.
Il dû immédiatement sentir la présence d’Anna, car il ne prit même pas la peine de la regarder pour lui parler.
« Hum…Qu’est-ce que vous m’avez fait ? »
« C’est un tranquillisant. Du Valium plus précisément. Rien de tel pour faire un gros dodo. Cela dit j’ai peut-être eu la main un peu lourde… »
Louis se redressa et s’assit sur le canapé.
« Ecoutez, je suis vraiment désolée, mais il fallait que j’agisse ainsi. Vous laisser errer seul dehors aurait pu vous être fatal…Vous n’êtes pas très…Stable. »
Louis garda le silence, fixant le sol. Il était encore sonné par l’effet du médicament, elle le savait, et bientôt, envahi par un nouvel élan de colère pour, entre autre, s’être fait piéger, il voudrait quitter le manoir pour aller à l’encontre de ce qu’il croyait être son dessein.
Il fallait qu’elle lui fasse comprendre et accepter les faits. Et pour ça, il allait lui falloir pas mal de tact.
« Mais il faut que vous compreniez que tout ce que je vous ai dit est vrai. Le temps de la monarchie est bel et bien révolu et…Vous n’avez plus de place dans ce monde, du moins plus votre ancienne place. Ici vous n’êtes qu’un « monsieur tout le monde ». Et seul, vous ne parviendrez à rien. »
Il releva la tête et la dévisagea. Contre toute attente, il ne se mit pas en colère. Il paraissait plutôt déstabilisé.
« Alors, que suis-je censé faire ? »
Anna haussa les épaules.
« Je ne sais pas vraiment… »
Ils se fixèrent un instant, puis, gênée, elle détourna la tête et regarda sa montre.
« Je dois prendre ma garde dans une heure. Je pense que, pour l’instant, le mieux que vous puissiez faire, c’est de rester sagement ici. Et on avisera dès que je serai de retour. Promettez moi que vous ne bougerez pas d’ici. »
Il n’opposa aucune résistance.
« C’est promis. »
Satisfaite, elle tourna les talons et se dirigea vers le hall, où elle récupéra sa blouse et une veste, accrochées au portemanteau. Louis se leva et la suivit.
« Et si nous ne trouvons pas de solution ? Suis-je condamné à vivre dans ce monde sans aucun but précis ? »
Anna ressentait toute sa détresse, elle la voyait dans son regard. Mais elle ne savait pas trop comment s’y prendre, comment réagir. Tout était encore très flou dans son esprit.
« Donnez moi un peu de temps, je vais trouver un moyen de… »
« De me ramener chez moi ? »
Anna ne sut pas quoi répondre. Sentant son malaise, Louis lui facilita la tâche.
« Très bien, nous verrons cela lorsque vous rentrerez. Pourriez-vous juste... Me donner de quoi m’occuper ? »
Anna réfléchit un instant à ce qu’elle pourrait lui proposer comme distraction. Et soudain son visage s’illumina.
« Je crois avoir une petite idée pour vous faire passer le temps ! »

Anna ouvrit en grand les deux portes donnant sur la petite bibliothèque du manoir. Elle y avait passé beaucoup de temps étant plus jeune et adorait cette pièce. Son père était un fana de littérature et collectionnait tous les chefs-d’œuvre. C’est une passion qu’il tenait de son grand père lui-même. Depuis ce temps il avait accumulé un grand nombre de livres, tous classés et rangés ici. Cette pièce était un véritable puit de savoir.
Elle guida Louis jusqu’à une étagère assez conséquente, puis lui fit face. Il regardait tout autour de lui.
« J’espère que vous aimez lire ! »
Il reporta son attention sur elle.
« J’aime beaucoup. »
« Tant mieux ! Si j’ai un conseil à vous donner c’est de commencer par là ! »
Elle examina un instant une rangé de livre puis en choisit un.
« Celui ci devrait particulièrement vous intéresser ! Il traite de l’évolution de la ville de Paris de sa construction jusqu’à de nos jours. »
Elle lui tendit en souriant, un petit air moqueur aux lèvres. Il lui rendit son sourire franc et saisit le bouquin.
Mais au moment où il l’attrapa, leurs doigts se frôlèrent et ce fut suffisant pour provoquer un nouveau choc. La puissance du souffle s’emparant d’elle fut moins forte mais toujours aussi intense. Elle ferma les yeux…

Pendant quelques secondes il fit très noir. Puis un bruit strident attira son attention. Le bruit que font les rideaux lorsqu’on les tire. C’est alors que la lumière éblouissante du jour filtra dans toute la pièce. Et là, ce fut l’émerveillement.
Anna était toujours dans une bibliothèque, mais celle-ci était tellement plus…Grande ! C’était une pièce gigantesque ! Et si luxueuse ! Tous les murs étaient entièrement recouverts d’étagères ! Il y avait des livres par millier ! Des petits balcons, en marbres blancs, se trouvaient en hauteur et étaient accessibles uniquement par échelle. Ils devaient éviter aux propriétaires de cette bibliothèque de rester trop longtemps perchés sur l’échelle.
Anna tourna sur elle-même, admirant la splendeur de la pièce. Un énorme chandelier trônait au centre de la salle, la surplombant. Elle mourrait d’envie de toucher les livres, alors elle s’approcha lentement vers une des étagères. Sa vision des choses était assez floue, comme dans un rêve. Elle tendit un bras, mais au moment même où elle posa le doigt sur la couverture d’un des manuscrits, tout s’effaça…

Le retour à la réalité fut moins brutal que la fois dernière. Anna était toujours debout, et semblait se retenir aux meubles. A bout de souffle, elle releva la tête et croisa le regard de Louis. Il lui tendait la main pour l’aider à se redresser. Elle fixa sa main un instant, puis se redressa sans son aide.
« Je crois qu’il vaut mieux éviter…Tout contact. Ce n’est pas que les petits voyages dans le passé ne m’enchantent pas mais…Ils sont éprouvants. »
« Alors, vous me croyez maintenant ? »
« Je ne suis plus sûre de rien…Ca parait tellement…Invraisemblable ! »
« Pourtant c’est la vérité. La bibliothèque que vous venez d’apercevoir… »
« C’est celle de Versailles ? »
« C’est ma réserve personnelle. »
« Wouah, notre bibliothèque doit vous paraître bien ridicule alors… »
Il lui sourit gentiment.
« Elle est parfaite. D’ailleurs, il me tarde de lire certains de ces ouvrages. Je veux savoir tout ce qui c’est passé dans le monde depuis que je suis…Mort.»
« Il vous faudra bien plus d’une vie pour cela ! »
« Je semble bien parti pour avoir de longues heures à perdre devant moi… »
Ils se fixèrent un instant. La tension entre eux semblait s’être envolée. Peut-être parce qu’Anna commençait à croire sérieusement à ce qu’il lui disait. Comment avait-il fait pour savoir ce qu’elle avait aperçu ? Elle devait bien admettre que tout ça n’avait rien de rationnel ! Alors peut être que cet homme n’était pas fou, peut-être qu’il était vraiment le grand Louis XIV !
C’est complètement désorientée qu’elle prit conscience qu’elle allait finir par être en retard à l’hôpital.
« Il…Il faut vraiment que j’y aille. On reparlera de tout ça quand je rentrerai demain. Prenez tous les livres que vous voulez. Vous pouvez vous installer dans le fauteuil près de la cheminée, vous y serez plus à l’aise. »
« Merci. »
« Je peux vous faire confiance ? Vous resterez ici jusqu’à mon retour ? »
« Je vous l’ai promis. Un Roi ne trahit jamais ses promesses. »
Satisfaite, Anna regagna la porte mais elle s’arrêta juste avant de la franchir et se retourna. Louis avait déjà commencé à faire son choix.
« Vous savez, d’une certaine manière, la sorcière a elle aussi tenu sa promesse. »
Il tourna la tête vers elle et fronça les sourcils, ne comprenant pas où elle voulait en venir. Elle lui désigna les livres.
« Vous n’êtes peut-être pas immortel, mais elle vous a rendu éternel. Une grande partie de ces livres concerne votre règne, votre vie…Encore aujourd’hui on parle de vous, on vous étudie à l’école, personne ne vous a oublié. »


A SUIVRE....

J'adore, bravo
vivement la suite !!!!

Franchement c'est comme d'habitude, c'est S.U.P.E.R, j'adore continue comme ça

C'est cool et sympathique à lire. J'attend la suite . Biz

Une suite toujours aussi captivante et passionante à lire .Vivemant la prochaine suite.

ahhhhhhhhhhhhh vivement la suite ! je me demande si Louis va tenir sa promesse et rester bien sagement à la maison !! c'est quand même tentant la ville !!

J'imprime et je vais lire ça avant d'aller à Versailles ce dimanche... Je sens que je vais aimer

Ah c'est remarquable, on a qu'une envie c'est de lire la suiiiiiiite

Dis moi, as tu pensé à l'imprimer et à l'offrir à Emmanuel Moire ?

Vraiment c'est clair que tu as beaucoup de talent, vivement la suiiite

C'est toujours aussi bien tout ça!

Bravo!!! C'est tout simplement génial!

Voici la suite !! Bon et je tenais à préciser, j'ai posté le texte sur ce forum, j'aimerai qu'il reste sur ce forum !!! Jep eux biensur pas vous empêcher de faire des copié coller mais svp, ne vous servez pas de ce texte !

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La nuit avait été très mouvementée au service des urgences. Anna avait l’habitude de passer parfois deux jours sans dormir, et elle faisait passer cela avec des litres de café. Mais en rentrant, elle devait bien avouer qu’elle était complètement épuisée. Elle avait essayé de s’occuper le plus possible durant cette nuit de garde, pour éviter de trop penser à l’homme qui l’attendait chez elle…Cette histoire était encore très loin d’être réglée…
C’est donc les traits tirés, et des questions plein la tête, qu’elle rentra au manoir. La lumière des rayons du soleil levant commençait à filtrer à travers les rideaux qu’elle s’empressa de tirer. Le feu de cheminée s’était éteint, et quelques livres étaient abandonnés sur la table basse. Anna se dépêcha de mettre en marche le chauffage puis elle chercha Louis dans la maison. Il n’était ni au salon et avait déserté la bibliothèque…Où pouvait-il donc bien être ?
Elle fut surprise de le retrouver dans la cuisine. Il avait ouvert un placard et cherchait apparemment quelque chose à l’intérieur.
« Louis ? »
Il se retourna précipitamment, comme un gamin prit en faute.
« Oh, Anna, vous êtes rentrée. »
« Oui, bien que j’aime particulièrement mon métier, il y a des jours où je préfère être à la maison. Qu’étiez-vous en train de faire ? »
« Et bien je cherchais désespérément quelque chose à manger, mais, le seul ingrédient que je reconnaisse dans cette pièce, c’est cette pomme. »
Il montra une belle pomme verte toute luisante.
Elle lui sourit, quelque peu attendrie.
« Si vous patientez encore quelques minutes je pense avoir ce qu’il faut pour nous faire un petit déjeuner digne de ce nom. »
« Très bien. »
« Ok, je n’en ai pas pour longtemps. »
Elle tourna les talons et se précipita à l’étage. Une bonne douche s’imposait.

Lorsqu’elle revint à la cuisine, à peine une petite demi heure plus tard, Louis n’avait pas bougé.
« Désolée, j’ai mis un peu plus longtemps que prévu. »
Elle lui fit une petite moue désolée, puis contourna la table pour le rejoindre. A son tour elle farfouilla dans le placard et en sortit une boite de céréales au chocolat ainsi que deux bols. Elle les posa sur la table puis alla chercher du lait dans le réfrigérateur. Elle prit ensuite deux petites cuillères dans un tiroir qu’elle referma d’un coup de hanche, puis s’installa à table en face de Louis, toujours debout, et lui tendit une des deux petites cuillères. Il saisit l’objet, septique, s’assit, et l’observa remplir de céréales les deux bols puis y rajouter du lait. Sentant son regard sur elle, elle stoppa net son élan.
« Y’a un problème ? »
« C’est que…Etes-vous sûre qu’une telle chose soit comestible ? »
« Vous plaisantez ? Ce bol de céréale est une des meilleures choses au monde ! »
Il n’avait pas l’air vraiment convaincu.
« Je crois que je vais me contenter de cette pomme. Au moins, elle est naturelle. »
Elle pointa sa cuillère vers Louis, d’un air accusateur.
« Vous savez, cette pomme n’est pas ce qu’il y a de plus naturelle ! Elle a dû passer sous tout un tas de sprays chimiques ! »
Il hésita alors à croquer dans le fruit, puis se décida à le reposer. Cependant il ne toucha pas non plus à son bol de céréale.
« Je vous assure que c’est bon ! Goûtez ! »
« Ce qu’il y a c’est que…J’ai pour habitude de faire goûter à quelqu’un ce que je mange avant moi pour vérifier si mon repas n’est pas empoisonné. »
Anna le fixa un instant, perplexe. Elle ne savait pas si elle devait éclater de rire ou faire comme si elle n’avait rien entendu.
« Vous m’avez vu préparer ce bol, je n’y ai rajouté aucun poison. Je n’ai aucune raison de vous vouloir le moindre mal enfin ! »
« Cela ne vous a pas empêchée de m’inaugurer ce médicament pour m’endormir tout à l’heure. »
Un point pour lui. Et même si elle était légèrement vexée par ce manque de confiance, il fallait dire que jusqu’à présent elle n’avait pas été un parfait modèle de vertu. D’abord le mensonge à propos de sa future visite au gouvernement puis la piqûre…
« Bon, et si je vous prouve que vous ne risquez aucun danger, vous mangerez ? »
Il acquiesça en silence. Dès lors, Anne se leva et se pencha sur la table pour se servir dans le bol du jeune homme. Elle exagéra chacun de ses mouvements pour bien lui prouver que la nourriture était tout à fait saine.
Mais en se rasseyant, elle avala de travers. Sentant ses poumons se comprimer elle se leva rapidement, essayant de recracher la particule alimentaire coincée dans ses voies respiratoires. Louis se leva en même temps, l’inquiétude se lisant sur son visage.
Elle commençait à vraiment manquer d’oxygène, et connaissant les gestes à appliquer lors de ce genre d’incident, Anna s’empressa d’appuyez sur son abdomen avec son poing. Mais elle éprouva beaucoup de mal à effectuer la manoeuvre, la douleur l’empêchant de l’exécuter correctement.
Elle était en train de s’étouffer. Des larmes lui montèrent aux yeux, elle suffoquait.
C’est alors qu’elle sentit deux bras puissants l’encercler.
Tout en la soutenant, Louis pressa fortement avec son poing l’estomac de la jeune femme, juste en dessous du sternum, dans l’arc formé par les côtes.
L’effet fut immédiat. Anna sentit ses poumons se remplir enfin d’air. Mais à bout de souffle, elle se laissa tomber dans les bras du jeune homme qui la tenait toujours par la taille, une main posée sur son ventre. Il venait de lui sauvez la vie.
« Vous allez bien ? »
La respiration rapide et saccadée, Anna eut du mal à déglutir.
« Je…Oui. »
Elle se libéra de son emprise et se retourna pour lui faire face, une main sur le coeur.
« Merci. Sans vous je crois bien que j’y passais. »
« J’ai toujours beaucoup aimé sauver les demoiselles en détresse. »
Cette fois, c’était lui qui se moquait d’elle.
« Vous consentez toujours à ce que j’avale ceci ? »
« Je peux vous jurer que, jusqu’à aujourd’hui, mon petit déjeuner n’avait jamais essayé de m’assassiner ! »
Il lui sourit, et tout en la narguant, il saisit sa cuillère et goûta enfin à son repas. Il parut prendre tout son temps pour savourer sa bouchée.
« Alors, verdict ? »
« Vous avez raison, c’est excellent ! »

A SUIVRE.....

OUhlalala, vraiment j'adore, il me faudrait le livre pour ne pas avoir à attendre plus longtemps la suite!lol, j'adore c'est vraimetn génial, miss, tu es très douée!! Félicitations, j'ai hâte de lire la suite!
Bisous
Marie

Lol au moins il a compris que c'était bon les céréales!

Toujours aussi bien écris et drôle mais il vont s'embrassaient quand ???? Vivement la suite!!!!!!!!!!!!!!! SANDRA

et ben voila, je me suis mise a te lire moi aussi... houla que j'adore!! serieu c'est super bien ecrit!! et j'ai hate de connaitre la suite la!! bravo a toi!!

:coucou:c'est toujours aussi génial ,vivement la suite.

C'est toujours aussi bien!!!!
Mais je me pose une question: Comment ca se fait qu'Anna n'ait pas eu de vision quand Louis l'a aidée pour ne pas s'étouffer? Ils ont quand même eu un contact!!!

Vivement la suite!!

Toujours super