Pour Emma

Parce que sans toi ce n'est plus pareil
Parce que les saisons changent mais pas le manque de toi
Tu m'as donné beaucoup et je suis fou de toi,
dans le désir de revenir dans tes bras
De goûter au privilège de te connaître et de me réunir
Tu es ma vie, tu es Celui
Je ne puis demeurer sans toi trop longtemps
CAr mon coeur est comme celui d'un enfant,
Puisqu'il a sans cesse besoin de ton Amour, de tes bras.

Jusqu'à quand mon Amour d'autres bras nous sépareront, jusques à quand faudra-t-il attendre
Car tu es le parfum du muguet en printemps et tu es la douceur du cidre à l'automne,
Je ne puis demeurer loin de toi plus longtemps,
Même si tout est destiné, je ne puis m'empêcher de croire en nos esprits unis, bien que la chair vienne à manquer
Chaque jour un peu plus loin, chaque jour il faut que tu reviennes, pour me dire de tes si lointains paysages, si tu ressens l'âme qui pleure à toi, celle qui est là, privé de toi comme un fruit privé de son noyau.

Oui car les temps ont beau s'éclaircir, j'ai beau voyager, mais je n'attends que toi.
Toi seul détient le pouvoir de me guérir, car tes bras sont une forteresse où rayonnent l'amitié et l'amour.
Je crois en toi et je pense à nous.

L'Absence, seul mot qui me vienne à l'esprit, avec le manque, mais l'Absence est pire, c'est comme si je t'avais connu il y a dix siècles près d'une campagne, lointaine, belle, jonchée de fleurs de printemps, ces souvenirs me hantent.
La chaleur par laquelle tu réconfortes mon âme est celle d'un prêtre qui réconforte les coeurs, il y a dix siècles, lorsque nous étions toi et moi ailleurs, ....

Mon Ange, donne moi de ton sang que je le déverse en mon coeur pour qu'il revive,
Car les fleurs épanouies me montre que l'espoir réside dans ce lys,
Le Lys car la royauté ne suffirait jamais à avoir ton amour,
Enfin pour te dire que si je ne te vois pas ici, je t'attendrai dans Son Paradis,
que Si des espoirs nous séparent, d'autres nous réuniront,
Je suis là pour te dire
Que je vis et meurs en mon coeur chaque jour
Que même la plus belle des fleurs, ne voudrait être que la découverte de notre Jardin,
Mais le Temps prend ton âme comme je cueille les larmes
ET la foule nous sépare alors que je retourne dans mon désert,
Là où certainement je repenserai à toi.

S'il y a des vies sans âme, il n'est pas d'âme sans vie dont nous ayons à craindre,
Un jour tu comprendras, mais le temps reste encore à t'attendre,
Un jour tu repartiras, alors je prierai pour recueillir la tienne avec douceur
CAr ce ne sont pas mes veines,
mais les tiennes qui comptent.

Au doux visage tu es naît, comme une fleur d'Iris, mais comme le Lilla, le printemps renaîtra pour Lui.
Car tu le sais, Ce papier blanc est pour moi comme une rose blanche que j'aimerais t'offrir,
La blanche est plus étanche pour les larmes, tu me manques, toi qui est celui que tu es pour moi,
La fièvre me prend je ne sais pourquoi, j'espère que la chaleur de la nuit étouffera le froid du marbre.

Je te savais là, je te savais présent, au détour de mes ennuis, aux contraintes de mes matins, aux soupirs de mes amours,
Sans espoir le monde est bleu, comme une boule de feu, qui ne s'éteint pas
Mon coeur t'entend, il ne fait pas que t'écouter...
Qu'importe ce qu'ils pensent, la conjecture ne sert à rien contre la vérité, ni les insultes contre qui l'on est réellement...ni les menaces pour celui qui connaît son vrai Roi....

J'entends ton coeur, j'écoute la pluie, elle me manque, là bas, un jour, on se verra, près de la clairière.....
Mais seras-tu le rêve d'un ami jamais perdu et toujours bienvenu?

Partiras-tu sur d'autres voies me chercher ailleurs....

Est-ce que se laisser aller c'est mourir, ou bien meurt-on à cause de quelqu'un..?

Calmer un cheval fou n'est pas facile, mais il peut en être de manière différente...

je suis là moi aussi..................................................................................................................

La vie dans ses soupçons et ses senteurs de fleurs du jours, je les cueille, et je te vois les cueillir...
Un jour peut-être nous serons plus proches, dans l'éternel et indicible rêve que j'ai de te voir un jour, mais pour que tu sois heureux, alors prends un bouquet chaque jour, un bouquet de fleurs mûres, un bouquet de roi...
Tu es intelligent, tu sauras ce que tu dois faire.
Que la grâce est belle au lever de ce jour. Au final, je veux rêver, c'est ce que tous les artistes font.
PArfois le rêve peut frôler la réalité et le contraire aussi...
Ce que j'aime le plus chez moi, c'est qu'il manque la lettre R, R comme Roi, mais je ne suis que prince, tu joues dans la cour des grands...mais tu restes je le sais un enfant au fond de toi, si tu n'as pas oublié...

See you soon.....

Dans ces lieux si lointains, je revois passer les ancêtres rois, ceux qui ont vécu et je vois aussi les forêts, les palais, mais rien ne me réjouit plus que le bien.

Je cherche des chemins dans cette forêt pour tomber sur ses pas, et j'entends les oiseaux majestueux souffler le vent des cieux.

Ô toi, ma douce Nuée, jusqu'à quand viendras-tu hanter ces clairières.

Toi, souffle d'opprobre, ne te dérobe pas, tu as bel et bien péché d'un crime de mort. Oui tu as pris mon âme lorsque j'étais dans tes bras et tu l'as dérobée telle une pierre précieuse.

Tu t'en es allé, la prenant contre toi et dans ce lac, tu m'as jeté car je n'étais que poussière vivante.

Le Roi commandait alors qu'on me transportât jusque dans les cieux ensablés.

Là, je vis un ruisseau, il s'appelait "Once again". C'est le ruisseau qui rend la vie. Et malgré le fait que je n'outrepasse pas les barrières, je sais que tu te souviens de ce temps serein où tu prenais encore ma main, dans cette campagne fauve et jaune comme le blé.

J'avais dans le coeur des pensées, mais sache, toi qui demeure, que le fruit de mon coeur me déplaira s'il te déplaît.

Je ne suis tien que parce que tu es bon et droit.

Je ne te cache pas mes passés assassins qui à la droite de ta couronne viennent planter leurs épines, mais je ne le voulais pas.

J'entends le matin le souffle de l'aube qui ne cesse de crier à moi, et celui que j'entends le plus chante comme un aigle au regard pourpre.

Je tombe sans cesse dans ces pièges dans lesquels tombent d'innocentes créatures afin que tu les rachètes de la main d'un voleur.

Mon Seigneur est ma droiture, il rectifie les pas pour que sur ce chemin je ne tombe pas dans des pièges malsains.

Dieu est ma couverture au jour où le vêtement ne vaut rien, et ma ceinture se ceint d'amertume tant je sais....et tant je ne te dis rien...

A la tristesse de mon coeur, je ne vois que la pluie de mon regard.
Sans savoir pourquoi, sans droit, elle vient et s'insinue dans les bas fonds de mon âme. Ce sentiment comme si quelqu'un m'appelait au loin mais dont je ne sais pas l'identité, quelqu'un qui souffre cette vie de cette tristesse, qui est-ce que cela pourrait être, sinon le miroir de mon âme?

Le silence ouvre son bal et seuls demeurent tes notes pour décorer mon salon.
Le poids ne devrait jamais être lourd.
Quand à celui que j'aime, c'est un frère que je reverrai je l'espère, dans l'au-delà ou sur cette Terre.
Lui qui était si fragile ce jour là, sa peau rendue mate par le soleil était ce qui le caractérisait le plus. ET ses larmes étaient comme le cristal qu'on retire des océans avec étonnement puisqu'il n'y en a pas.

Un jour sûrement, la force de ce destin qui nous a uni une première fois, par la main d'un roi saura nous réunir.

L'Amour parfait est celui que je m'efforce de cerner, plus pur que le linceul blanc de la mort et plus pur qu'une fontaine d'eau miraculeuse, la Fraternité est le don de soi pour l'autre où qu'il soit. Ses pas sont comme des notes qui abîment les solitaires marches de mon château, mais qui rende une vie bien mérité à la seconde partie de mon étoilée destinée.

Les lumières du soir...........et puis sache que je t'aime.

Je te trouve très courageux de partager tous ces textes si intimes sur un forum !
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Dans ton sourire, je vois l'Enfant le Frère et l'Homme,
Le Temps avance et nos coeurs grandissent, mais tu demeures le même,
Tes souvenirs ne partiront pas de mon esprit
Je crois en toi, alors peut-être un jour....un sourire, une rencontre, et comme tout vaut la peine, alors peut-être dans les antres de ton coeur tu connaîtras ce sourire merveileux, le sourire que le soleil donne à la lune lorsqu'ils se croisent à la tombée du jour et au matin lorsque la nuit succombe.

Alias Cassandro

Je t'ai perdu, tu ne reviendras sans doute que pour hanter mes rêves, tu étais les seul espoir dans ma vie si monotone, de retrouver l'écho perdu des jours heureux.
Ma peine dans le silence de cette musique, retentit comme une cloche qui sonne l'heure, à chaque heure elle sonne encore, mais je suis bien plus fort, je résisterai, car je ne sais si tu as essayé de me détruire, tu étais comme le passé que je longeais, comme une plage qui me ramenait vers ce jour merveilleux de l'enfance, mais je ne puis accepter ton absence, et tes silences sont comme des pointes qui accentuent encore plus mon déclin....

Au reflet de ta lumière, j'ai lu, j'ai vu l'amitié d'un frère en qui je croyais.
Je ne savais pas cependant que ton but était ténébreux, les reflets ne résultent-ils pas de la lumière?
En dessous de ces cages d'aciers, je descends encore, pour te dire que tout est fini entre nous.
Tu ne m'as pas fait confiance et tes mots sans être du vent n'étaient que vains profits pour qui tu es.
Tu m'as fait mal, mon âme était blessée parce que ta confiance était sans unité.
De part et d'autres, je me rends compte que je ne suis rien pour toi,
Qu'un Jocker dont tu te sers à chaque fois que tu ne vas pas bien.
Je ne concevais pas vivre sans toi, alors je te le dis, cette fin, j'y mets fin définitivement, ainsi qu'à toute l'amitié qui nous liait. Je ne veux plus que l'on s'étende sur ce sujet. Est-ce qu'il n'existe pas de vrai soleils à explorer? Or tu n'étais que le reflet d'une lumière noire que je prenais pour l'ombre de la lumière.

Je me suis trompé sur ton compte, et le temps perdu n'est que regrets. A présent, certes, personne ne peut entrer dans ma vie à cause de toi. Car désormais je ne peux plus faire confiance, et jen'ai pas la force de construire une nouvelle fausse confiance.

Je deviens fou, partout je te vois, mais nul ne m’envoie
Des nouvelles de toi, des nouvelles de moi
Je crois en nous je crois en toi je crois en moi
Et sous le pont des larmes ont sans cesse coulé
Avec le calme de ces années,
Je sais qu’un jour quelque part ou qui sait plus loin encore, nous serons côté à côté, et en attendant ce jour, je t’envoie mes plus grands désirs de souffrance, mes plus tendre mots d’indolence et les mots de sagesse qui font que jamais plus on ne se lasse, et que jamais plus on ne devient le même,
Si c’était un jour comme les autres, alors tu sais, ces choses, serait comme vapeur au ciel, et nuage tombés en poussière, mais tu es là bel et bien, vivant et sonnant de ta voix qui rafale dans les ondes de la musique en laquelle je crois.
Et tu veux ce que tu cherches et tu crois que tu me trouves à passer des heures derrière les miroirs brisés de nos vieilles années, tandis qu’aucune rides non aucune ne me dit quel est ton désarroi, et je m’engouffre dans de sombres matin, à regarder la pluie qui ne cesse de devenir plus proche de ce ciel, tandis que toi et moi un jour je le sais, nous nous verrons.